mardi 16 octobre 2018

LES AMOUREUX DES BANCS PUBLICS - Trailer


Critique collective:
Les Amoureux des Bancs Publics raconte le peuple tunisien qui se révolte, le 14 janvier 2011  pour que tout le monde ait accès à la culture au lendemain de la révolution : acteurs, danseurs, des taggers sont rassemblés pour cette cause.
La Mass’Art est l’association principale.
Le film n’est pas basé sur des archives (à part dans le générique) comme dans Gurs mais sur une accumulation de témoignages, face caméra.
On voit beaucoup de plans de coupes de tags qui ne suffisent pas à rythmer le
documentaire.
Le film est assez convaincant parce qu’il y a cinq techniciens seulement pour
harmoniser l’ensemble. On sent que c'est un film sans budget écrit dans l'urgence et le feu du sujet.
Les moments de partage des gens qui font de l’art ensemble était touchant.
Le film est mal sous-titré : trop de fautes d’orthographe. Il doit manquer des moyens à la production pour améliorer cette technique.
Le sujet est intéressant mais on souffre des longueurs.
L’image n’est pas stabilisée, trop tremblante. Sur la terrasse, par exemple, il y a des maladresses: la caméra bouge, l'image est mal cadrée. C'est regrettable car cette chorégraphie est un moment phare du film.
On aurait aimé comprendre la signification des tags présentés.

1 commentaire:

  1. La révolution tunisienne (الثورة التونسية), parfois appelée « révolution de jasmin2,3,4,5 » (ثورة الياسمين), est une révolution considérée comme essentiellement non violente6, qui par une suite de manifestations et de sit-in durant quatre semaines entre décembre 2010 et janvier 2011, a abouti au départ du président de la République de Tunisie, Zine el-Abidine Ben Ali, en poste depuis 1987. L'appellation « révolution de jasmin » a fait débat, car elle renvoie aussi à la prise de pouvoir de Ben Ali en 1987 (qualifiée de « révolution au jasmin »). Les Tunisiens préfèrent le nom de « révolution de la dignité » (ثورة الكرامة) pour qualifier les évènements de 2010-20117.

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