jeudi 28 novembre 2019

Dimenchado à Marsiho.

Comme chaque année l'option Provencal et l'option facultative Cinéma montent à Marseille pour rencontrer les réalisateurs du PriMed. Ce week-end. Un documentaire inédit sera projeté le vendredi matin puis une leçon de cinéma documentaire donnée par trois réalisateurs qui interrogent la Méditerranée d'aujourd'hui. Wa Drari de Fatim Zarha Bencherki montre les rappeurs du groupe marocain Shayfee. Le Rêve des Mineurs de Mohamed Kenawi illustre l'arrivée et l'intégration des jeunes migrants en Italie, Forte de Salim Saab raconte le quotidien des femmes libanaises. Les documentaires ont été étudiés en français (madame Gilles - Chikhaoui) en histoire géographie (madame Simon ) en cinéma (monsieur Poitavin ) et en provençal (monsieur Poitavin). Les écrits des élèves sont mis en ligne sur un blog en Français , en provençal : ocinemart.blogspot.com . Année exceptionnelle puisque les élèves d'Orange sont choisis pour remettre le prix du documentaire aux réalisateurs et monteront sur le podium pour les féliciter. Le lendemain nous travaillerons au Mucem autour de Jean Giono mais aussi autour des traditions méditerranéennes. Ce premier projet interdisciplinaire participe à la classe "Voix des Femmes de la Méditerranée" (projet INES de la région  SUD en 2020). D'autres manifestations autour des langues et de la culture méditerranéenne auront lieu dans l'année.  Ce qui permet de donner au provencal (lvb et lvc au lycee de l'arc) un nouvel essor et un rôle indispensable pour l'apprentissage de nos futurs citoyens. 

mardi 12 novembre 2019

Wap Drari: rap marocain

Critique un:

Wap Drari est un film réalisé par Fatim-Zahra BENCHERKI en 2019. C’est un film plein de sentiments avec une morale principale (croire en ses rêves). Fatim-Zahra est née à Casablanca en 1985 et  s’est reconvertie dans l’audiovisuel en 2015. Wa Drari signifie « ouais les gars ». C’est l’histoire de 2 jeunes rappeurs (Small x et Shobee) qui sont des idoles dans leur pays et qui défendent leurs valeurs.


Le film nous a énormément plus, leur musique, leur histoire tout était intéressant nous avons adoré les moments de musique. On trouve que cela permet de promouvoir ce jeune duo. D’autre part, nous avons également trouvé que le passage qui relate le dialogue d’un des jeunes rappeur avec le père permet de montrer qu’il est possible d’avoir confiance en soit et de prouver qu’on est capable de réaliser ses rêves. Shayfeen fait preuve de générosité en faisant un concert ouvert à tous  avec pour seul but de faire oublier les problèmes quotidiens des jeunes (la drogue, famine, problèmes financiers) les plus défavorisés et de s’amuser sur de la musique. Nous avons trouvé ca fantastique. Malgré leur célébrité, ils portent une attention énorme à leur famille. Comme on peut le voir a la fin du film, Small x a une femme et un fils, il tient à apporter une éducation parfaite à son fils !
Pour conclure, Wa Drari a gagné le Primed 2019. Un très bon film de type hip-hop, plein d’émotions, d’engagement, de volonté et de réussite. Durant le film nous sommes au cœur de leur méthode de travail et de leur vie. Ils sont arrivés à nous projeter dans la réalité des quartiers les plus pauvres du Maroc au travers de leur musique et de leur histoire.
Nathan et Tino

   Critique deux: 
   Ce film nous raconte l’ascension de ce groupe parti de rien. Les deux jeunes rappeurs se sont rencontrés en 2006 à Safi, au Maroc, durant leur enfance alors qu’ils ont une vie familiale compliquée. Shobee et Small X se lient alors d’amitié grâce à leur passion commune, le rap. Ils fondent alors Shayfeen pour imposer leur message décomplexé, d’espoir et de liberté, dans leur pays et en particulier dans leur société. Dans leurs textes ils parlent de leurs origines, de leur vécu et de leur situation actuelle.
   Les rappeurs veulent faire passer un message : ils veulent montrer qu’ils sont présents, qu’ils sont là. Ils veulent rassembler la nouvelle génération avec leur gymnique :’’Wa Drari’’.
   Ce film nous montre une Méditerranée forte, qui s’affirme mais aussi les inégalités et injustices entre certains pays Méditerranéens, comme par exemple ici entre la France et le Maroc. Dans le film Wa Drari, on peut voir aussi les différents problèmes des personnes vivants dans des pays peu développés ou en développement.
    On a choisi ce film car pour nous c’est un film complet, il nous a captivé et intéressé. On trouve qu’il s’adresse plus aux jeunes et sur les trois films vus, c’est celui qui nous a le plus marqué car on  évoque  la gymnique encore entre nous aujourd’hui.

Clément et Maxime


Critique trois:



 Le film a été produit au Maroc. Il est sorti en 2019, il dure 71 minutes .
Le sujet du film porte sur deux jeunes rappeurs du monde arabe qui ont créé un groupe nommé Shayfeen. Les deux rappeurs ont arrêté l‘école pour se consacrer uniquement à leur passion : la musique .
Pour nous le message qu‘ils veulent faire passer : dès que l‘on a un rêve il faut le faire quitte a tout laisser derrière soi .
L‘image de la Méditerranée qu‘il donne est qu‘il ne faut pas laisser ses origines de côté.
La société marocaine n‘aime pas la culture  musicale (rap).Dans ce pays le rap est très mal vu à cause des idées reçues.
On a choisi ce film parce qu‘il parle de rap et que le rap c‘est de notre génération.On l‘a aussi choisi parce que le film est assez dynamique ce qui nous met dans l‘ambiance.
Il nous a appris à avoir confiance en soi et à foncer tête baissée quand on a un projet.
Hugo et Mathias


Critique quatre:
Nous avons choisi de faire un article sur le film “Wa drari” . Le film a été réalisé au Maroc plus précisément à Casablanca en 2019 et il dure 79 minutes. Le film nous montre le portrait de deux jeunes rappeurs : Shobee et Small-X qui forment un groupe très connu au Maroc . Ils se battent pour leurs rêves et pour pouvoir vivre de la musique . Dans ce reportage on peut les voir sur scène mais aussi dans leur vie privée. Ils montrent aux jeunes qu’ils doivent se battre pour leurs rêves et ne pas écouter les gens qui disent qu’ils ne vont pas y arriver, Le Maroc est un pays très peu ouvert d’esprits car sa devise est : «Dieu,la patrie et le roi »   
Cela nous permet de voir les difficultés que les jeunes peuvent rencontrer au Maroc
Manon et Selma


Critique cinq:

Wa Drari est un film documentaire réalisé au Maroc par Fatim-Zahra Bencherki et produit par Ali’n production.

Ce film documentaire d’une durée de 71 minutes retrace l’histoire d’un duo de rap marocain nommé Shayfeen, qui a réussi à imposer leurs musiques dans un pays conservateur où ce style musical est encore incompris.

A travers cette œuvre on peut suivre le parcours de ces rappeurs qui sont partis de rien à la base et qui aujourd’hui se retrouvent à remplir des salles de concert à Paris, des festivals à Casablanca et à satisfaire des millions de jeunes.

Nous trouvons que ce film porte un grand message d’espoir pour toutes les personnes jeunes souhaitant réaliser et accomplir leurs rêves. Ce dernier apporte une image jeune, optimiste, pleine d’assurance et de projets de la Méditerranée.

Nous l’avons choisi parce qu’on arrivait bien s’identifier dedans en tant que « jeunes » tous plein de projets et de rêves en tête, parfois difficiles à réaliser car pour y parvenir on doit souvent faire de nombreux sacrifices.



 Ne laisser personnes nous dicter ce que l’on doit faire de notre avenir, les choix de nos métiers, de nos passions et encore bien d’autres. Faire ce qui nous plait et non pas ce qui plait aux autres. Savoir prendre des décisions qui nous mèneront jusqu’au bout de nos ambitions même si cela est difficile…  Voilà ce que ce film nous a appris.
Lucie et Margaux. 

War Drari : croire en ses rêves.
Inspirant. Durant ces 71 minutes qui correspondent en réalité en un an de travail, on découvre le duo de rap marocain Shayfee. Shobee et Small X, de leurs vrais prénoms Chouaïb et Abdessamad sont partis de rien et ont rencontré de vraies difficultés avant d’être reconnus dans leur pays. Peu de personnes croyaient en eux car au Maroc on dit qu’ils viennent de l’ « école de la rue » et puisqu’ils ont arrêté leurs études, ils n’ont pas droit à l’erreur. La réalisation est de très bonne qualité. Fatim-Zarha Bencherki joue avec la mise-au-point et l’effet de ralenti. Il crée des scènes décalées avec des musiques qui n’ont rien à voir avec le propos (une foule de jeunes qui danse sur de la musique électronique mais que l’on ralentit sur de la musique classique).
Nous avons apprécié l’honnêteté des deux rappeurs. Le fait de voir les coulisses de leurs vies et évoluer leur carrière musicale nous a beaucoup intéressé. A voir !
Elise et Florie. Seconde. CAV.

Critica dau filme: Wa Drari 1.



Wa drari es un reportatge sus un grop de rap que se ditz Shayfeen. Lei rapaires an arrestat l‘escòla per faire de la musica e per bastir lor avenidor.
L‘imatge que m‘agrada es quand small x parla ambé son paire de seis estudis.
L‘imatge que m‘agrada pas es la sequéncia de la disputa ambé small x e shobee.
Le subject es interessant perque aquò parla de rap e que lo rap es de ma generacion.
Le son e la musica son ben perque aquò dona un costat orientau.
Lo montatge es rapid e ben realisat.
Ges sequéncia que m‘an marcat.
En conclusion : Lo film es ben realizat car lei parents son comprensius envèrs lei chausidas de lors enfants e lei parents vòlon que lors enfants reussisson dins lors projèctes. Hugo. 

Critica du film « WA DRADI » 2.

Lo film « Wa Dradi » es un documentari marocan sus dos cantaires de rap.
M’agrada pas tròp lo film mai es interessant a veire perque seguissèm Shobee e Small X durant un an.
Lei dos cantaires de rap son partits de ren e an conegut fòrça de dificultats avans de conóisser lo succès. Dins sei tèxts critican la societat marocana e se baton contra lei clichés.


Lo montatge es ben e la musica en fons porta quauqua ren en pus. Guilhèm. Provençau. 

Wa Dradi, lo rap, la vida


Lo filme es un documentari que parla de cantaires de rap dau groupo Shayfee, Shobee e Small X o Chouïab e Abdessamad.

M’agrada l’imatge dau concèrt perque es animat e festiu.
M’agrada pas l’imatge de la garrolha perque lei cantaires son solidaris coma dei fraires.
M’agrada pas lo montatge perque lo realizator mescla lo francés e l’arab.
Fin finala, lo filme parla dei dificultats per intrar dins lo mitan de la musica e que fau jamai abandonar e que fau crèire dins son pantais per ren regretar.


Wyatt BUECHER, Rokia 

Du sacrifice à la réussite
Ces jeunes rappeurs nous montrent qu'après tant de sacrifices familiaux, économiques, sentimentaux, qu'après des pertes tragiques, ils réussissent tant bien que mal à vivre de leur passion et transmettent ce message à travers le rap: compter sur personne et se battre pour vivre de ce que l'on aime.
Doutes. Désapprobation des parents. Disputes. Rejet de la société. Se pose la question de chanter dans le dialecte "le Danija": ce qui semble limité au Maroc. Comment sortir de ces épreuves? 
Ce documentaire est doux par moments mais féroce lors des concerts. Rage et amour. Vivez de vos rêves mais ne rêvez pas de vivre!
Joani et Chaimae, Cinéma. 

Le rap: un moyen judicieux de réussir au Maroc. 
Des jeunes qui réussissent d'une manière nouvelle. 
Fatim Zahra Bencherki  a passé une année auprès du groupe nommé Shayfeen afin de nous faire découvrir que la réussite n'est pas toujours liée à l'école surtout dans un pays tel que le Maroc où il est souvent difficile de trouver un emploi. 
Le rap, un art très récent dans ce pays, s'inscrit dans un processus nouveau qui bouleverse les codes de la société marocaine conservatrice. 
Paul et Joseph. Cinéma.

Shay Feen: du pays où meurent les rêves.
Intrigant. Voilà ce que l'on ressent dès les premières images mais rapidement on comprend que l'on a affaire à deux garçons qui vivent leur passion sur scène. Après ce court passage, il y a un flash-back qui nous ramène à leur début. Chouaib connu sous le nom de scène de Shdoce et Abdessamad, lui, connu sous le nom de Small X forment un duo de rap: Shayfeen. Les transitions plus ou moins longues font un bond dans le temps, chaque passage de leur évolution accompagnée d'une musique et d'une image montrant leur début. Ils partent de rien, ils doivent se débrouiller depuis leur enfance et n'ont aucun soutien. Entre les doutes, les obstacles et les victoires, ces jeunes marocains ont réussi leur défi. Le film nous donne la définition du mot persévérance, avec émotion.
Célia et Camille.  





lundi 11 novembre 2019

Le Rêve des Mineurs




Hugo et Valentin
Ce film retrace la vie de trois migrants encore mineurs qui, une fois arrivés en Italie, sont placés en centre d’accueil provisoire, encadrés par des éducateurs qui tentent de les aider. On y voit le superviseur du centre, particulièrement dévoué, qui les aide à se former et à trouver du travail et s’intégrer à la société italienne.
Selon nous, le film a pour objectif de modifier la perception des migrants par les Européens, en apportant un message de tolérance, dans un monde qui se désintéresse de plus en plus de ces cas, souvent rapportés à de simples données chiffrées. Le film nous rappelle aussi que la majorité des migrants le font par nécessité, pour échapper à des situations mortelles. Le film dépeint la Méditerranée comme la barrière naturelle à la migration, un obstacle quasi insurmontable pour accéder à l’Europe et à ses promesses.Nous avons choisi ce film car il apporte une vision novatrice sur un sujet largement traité par la presse et dans les documentaires, puisque ces jeunes sont suivis sur une période qui dépasse leur simple arrivée, en amenant des témoignages sur leur vie après plusieurs semaines passées en Italie.

Maxence et Arthur
Nous avons visionné le film-documentaire : Le Rêve des Mineurs  réalisé par Mohamed Kenawi (Egypte, Italie). Produit par Domino Film (Italie) et Al Jazeera Documentary Channel (Qatar) en 2019, ce film est d'une durée de 47 minutes.
Le message essentiel du film est que prendre une décision est une chose importante qui peut apporter des risques. Les conditions de vie de ces migrants qui sont mineurs, comme nous avons pu le voir, leur périple peut les marquer psychologiquement avec des morts qui marquent les esprits.
Quand ils ont réussi à survivre, l’arrivé en Italie est difficile, on repart à zéro, sans emploi,  sans logement, et sans amis…
Dans le film un italien apporte son aide, il donne sa vie pour aider ces jeunes, ces migrants, qui n’ont rien. Il est comme un père pour eux, il les aide comme ses fils. Il leur trouve un emploi, un logement et des biens pour vivre. Il offre son cœur à des gens démunis. Il les suit pour leur donner l’envie de se battre et de réussir même si les choses sont très dures.
Ce film donne une image de la Méditerranée comme une mer pouvant être dévastatrice  mais accueillante et chaleureuse une fois les pieds sur terre. Elle montre qu’elle est protectrice. Ce film montre que celle-ci aide les plus démunis avec ce qu’elle possède.
Pourquoi avons-nous choisi ce film ? Car, ce film nous a plus touché et nous l’avons mieux vécu que les autres. Nous l’avons trouvé plus réaliste et plus marquant que les autres documentaires (Wa drari, Forte).
Ce qu’il nous a appris ? Il nous a appris à être plus attentifs aux migrants en considérant leur point de vue. Que la vie est difficile pour certains et que parfois ils n’ont pas le choix que de fuir leur pays et retenter une nouvelle vie. Que parfois il faut réfléchir avant d’agir par peur de regretter.
Cilia, Clara
Le thème abordé est le suivant : 3 jeunes immigrés quittent leurs pays d’origine pour trouver de meilleures conditions de vie en Italie (travail, logement, indépendance…). Des personnes spécialisées pour l’accueil des migrants, les aident tout au long de leur arrivée en Italie et cela jusqu'à leur majorité et même plus. Ils les accompagnent en essayant  de mieux comprendre leurs motivations et de les aider a trouver un métier. Les tuteurs les préparent aux dangers qu’ils pourront rencontrer en dehors de la structure et les consolent dans leurs peines et leurs déceptions.
Selon nous, les messages  essentiels du film sont qu’il faut arrêter de se plaindre car chaque jour un certain nombre de migrants essaye de survivre en trouvant une situation stable dans un autre pays que le leur et ce n’est pas toujours facile pour eux… Le deuxième message essentiel montre les difficultés de s’intégrer dans un pays inconnu, seul, sans argent et en étant encore mineur. L’image qu’il veut donner de la Méditerranée est qu’il n’est pas si facile que cela de rentrer dans un nouveau pays autre que le sien.
Nous avons choisi ce film pour montrer le fait que les migrants se font une fausse idée sur leur nouveau pays, ils pensaient que la vie là-bas serait plus facile mais au contraire…
Pour conclure, ce film nous a appris le périple et les souffrances qu’endurent les migrants l’incertitude de savoir s’ils pourront s’en sortir ou non et les réussites qu’ils peuvent connaître malgré les difficultés de leur nouveau pays d’accueil.
Hugo et Valentin

Ce film retrace la vie de trois migrants encore mineurs qui, une fois arrivés en Italie, sont placés en centre d’accueil provisoire, encadrés par des éducateurs qui tentent de les aider. On y voit le superviseur du centre, particulièrement dévoué, qui les aide à se former et à trouver du travail et s’intégrer à la société italienne.

Selon nous, le film a pour objectif de modifier la perception des migrants par les Européens, en apportant un message de tolérance, dans un monde qui se désintéresse de plus en plus de ces cas, souvent rapportés à de simples données chiffrées. Le film nous rappelle aussi que la majorité des migrants le font par nécessité, pour échapper à des situations mortelles. Le film dépeint la Méditerranée comme la barrière naturelle à la migration, un obstacle quasi insurmontable pour accéder à l’Europe et à ses promesses.

Nous avons choisi ce film car il apporte une vision novatrice sur un sujet largement traité par la presse et dans les documentaires, puisque ces jeunes sont suivis sur une période qui dépasse leur simple arrivée, en amenant des témoignages sur leur vie après plusieurs semaines passées en Italie.
Chaimae. 
 Le rêve des mineurs: Un dur chemin de vie.
Quels sont les choix, les sacrifices, les conséquences de l’immigration pour les étrangers mineurs?
Mohamed KENAWI nous donne un point de vue  personnel face aux protagonistes mais nous dévoile au fur et à mesure de ce documentaire l’histoire, le chemin de vie et les rêves de ces derniers.
Nous apprenons à connaître trois jeunes migrants arrivés en Italie et  pris en charge par un centre pour réfugiés mineurs.
Ils rencontrent de gros problèmes face à la difficulté de la langue. Leur intégration se fait difficilement.
Le tempo du documentaire était plutôt lent pour que nous puissions admirer les paysage; des portraits larges avec une vue d’ensemble sur les passants, sans censure. 
Beaucoup d’humanisme, d’amour, de tolérance.
Une leçon de vie.


Rokia
Lo pantais dei jovents es un film que parla dei migrants que son en Italia e que cercan de trabalh
per viure. Es malaisat de trobar de trabalh per de personas que venon d’un autre país. A causa de la lenga dau país qu’es inconegudada dei migrants .Lei migrants son dins un fogau fins a 18 ans .L’imatge que m’agrada es la riba de mar perque la mar m’ agrada . L’imatge que m’agrada pas es quand vesèm lei condicions dei jovents migrants .
Rokia. Provençau. 

Mélissa et KLoé: Comment s’en sortir?

Mohamed Kenawi interroge 3 protagonistes migrants parmi tant d’autres qui espèrent un meilleur avenir.

Il filme des moments de vie. Les plans sont longs, parfois muets, avec un son réel en fond pour souligner le réalisme . Le réalisateur utilise le portrait,  face-caméra. Il n’y aucune censure. Les jeunes migrants se livrent !

On voit ce qu’on ignore, ce que les médias ne montrent pas assez: l' arrivée en Italie est très risquée. Pour la prise en charge des mineurs sur le territoire ( famille d’accueil ou centre d’accueil), la situation devient complexe quand on devient adulte. Certains luttent pour rester dans le droit chemin mais d’autre finissent par dealer pour gagner de l’argent facilement. Les emplois se font rares.

Très intéressant.Nous aimons bien le fait que le sujet soit plus développé que dans les médias ou dans un reportage. Cela montre que les jeunes migrants ne sont pas totalement seuls dans leur misère; il existe des personnes qui essaient de les aider et les suivre jusqu’au bout.



Guilhem:
Lo film « Lo Pantais dei Jovents » es un documentari que parla dei jovents que migran e que son pas acompanhats.
Lo subjècte es interessant perque lo fenomèni dei jovents que migran per trobar de trabalh es de plus en plus important.
La sequéncia de batèu dei migrants m’a marcat perque se vei d’enfants, de femnas e d’òmes que se negan.
Fin finala pense que lo film es interessant perque mòstra lei penas e lei espèrs dei tres jovents que s’expatrian per venir en Italia.

Paul et Joseph:

 Après un début de film dans la peur et l'angoisse lié au différentes scènes de sauvetages en mer, Mohamed Kenawi présente une demi-dizaine de jeunes ayant traversé la Méditerranée pour venir se réfugier en Italie. Des plans relativement longs et fixes laissent au spectateur le temps de méditer sur la situation difficile de ces jeunes. Le réalisateur transmet au public le fait qu'après avoir quitté leur pays et leur proches dans un espoir de vie meilleure certains jeunes se sentent obligés de pratiquer des activités illégales. Nous avons trouvé la musique très appropriée aux multiples plans, son calme correspond au rythme de l'image et aux sentiments ressentis. Émotions au rendez-vous !


Ciriela:                 Italia tèrra d’acuelh

Lo pantais dei jovents es un film seriós amé de personatge fòrça coratjós e estacants . Aqueste film raconta l’istòria de tres dròlles, de jovents qu’an subreviscut a la migracion e que son arribats en Italia .

Aquestei dròlles nos mostràn coma arriban a viure dins aqueu país (different de la leur). Quauquei jovents s’en sòrton ben mentre que d’autrei son perduts, pecaires.
Podèm veire que d’ enfants vivon sota lo tibanèu mentre que d’autrei vivon dins un ostau. Trabahar es fòrça complicat perque (il parle pas la meme langue et des differente culture)i a pas pron de trabalh per totei. (Donc)Leis migrants subrevivon amé de pichὸts trabalhs.
questi jovent (ne recomande pas de venir en italie parce que cela ne vaut pas mieux que leur pays d’origine).

Aqueste film ma agrada perque èra esmonvent e interessant . Devon (se mettre a la place des autres car ils ont ) una vida mai triste e dangeirós.
Ciriela - Provençau.

Critique 3: Mohamed, Mustafa et Araby
Le film réalisé par Mohamed KENAWI débute avec une scène où nous pouvons voir tous les protagonistes. Ces jeunes ont entre 15 et 17 ans et immigrent tous en Italie afin de trouver du travail. Ces trois protagonistes sont Mohamed, Mustafa et Araby.
Vide dure en Italie. Certains ont frôlé la mort en traversant la Méditerranée.
Mohamed et Araby viennent de Tunisie afin de trouver du travail et se construire un avenir ; Mustafa vient d'Égypte afin de ramener de l'argent à leur famille en trouvant du travail.
Nous pouvons voir que ces jeunes adolescents sont courageux pour leur âges et ont tous décidé de se construire un avenir par eux même malgré les obstacles qui se dresseront sur leur chemin et espèrent trouver une vie paisible au fil du temps sans voyager de refuge en refuge.
Le réalisateur utilise beaucoup le plan rapproché en montrant les protagonistes en gros plan afin de montrer leurs émotions lorsqu'ils racontent leurs histoires et leur passé. 
Tanguy et Léo - CAV.


Wyatt et Rokia: Lei Pantais dei Jovents, una leiçon per totei

Lo filme presenta lei vidas dei joves migrants, sei dificultats e coma reussisson.
M’agrada l’italian perque ven ajudar lei migrants e se voda a la cause migratòria.
M’agrada pas lo batèu que se renversa perque es una scena òrre.
Lo subjecte es interessant e universau que parla dei migrants.
Me pense que lo filme es una leiçon per totei perque lei personatges parlan de la vida e dei espròvas que passa coma un batèu de migrants qu’espèran per una melhora vida.


Elise et Florie
Quelles sont les conditions d'intégration des jeunes
migrants aujourd'hui en Italie?
Dans ce documentaire nous faisons la rencontre de trois mineurs
qui témoignent des difficultés du voyage en mer, de la recherche
de travail, de logements et d'argent puisqu'ils se retrouvent
sans aide à leur majorité. Le responsable d'un centre d'accueil
est interrogé par le réalisateur Mohamed Kenawi et nous en
apprend davantage sur leurs parcours. Les plans s'alternent entre
 visages et plans d'ensemble sur des
paysages italiens ce qui enrichit le film. On découvre avec
émotion le manque de leur famille, de leurs pays et parfois
même, le regret d'être parti. Certains tournent mal : ils
deviennent dealers, délinquants, prostitués et finissent par se
faire expulser. Malgré tout, chacun d'eux vit avec l'espoir de
construire un avenir meilleur.
Ce film nous a touché pour la franchise des jeunes et leur
persévérance dans leur vie pourtant compliqué en Italie.
Elise & Florie. 


Ciriela: L’italia e lei migrants.

Lo pantais dei jovents es un filme fòrça interessant perque aquò nos mòstra lei difficultats dei migrants especialement ambe la scèna dei batèus ambe lei sauvaires e lei difficultats psicologicas ansin que la barriera de la lenga. Es un filme que pòu faire prene conscéncia de la gravitat de la situacion dei migrants.
L’imatge que m’agrada es l’imatge ambe la mar.
M’agrada lo filme perque lo subjecte es forcà interessant. 


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Photographie: Marseille. Elise, seconde cinq, CAV, Lycée de l'Arc.