Critique un:
Wap Drari est
un film réalisé par Fatim-Zahra BENCHERKI en 2019. C’est
un film plein de sentiments avec une morale principale (croire en ses rêves). Fatim-Zahra
est née à Casablanca en 1985 et s’est
reconvertie dans l’audiovisuel en 2015. Wa Drari signifie « ouais les gars
». C’est l’histoire de 2 jeunes rappeurs (Small x et Shobee) qui sont des
idoles dans leur pays et qui défendent leurs valeurs.
Le
film nous a énormément plus, leur musique, leur histoire tout était intéressant
nous avons adoré les moments de musique. On trouve que cela permet de
promouvoir ce jeune duo. D’autre part, nous avons également trouvé que le
passage qui relate le dialogue d’un des jeunes rappeur avec le père permet de
montrer qu’il est possible d’avoir confiance en soit et de prouver qu’on est
capable de réaliser ses rêves. Shayfeen fait preuve de générosité en faisant un
concert ouvert à tous avec pour seul but
de faire oublier les problèmes quotidiens des jeunes (la drogue, famine,
problèmes financiers) les plus défavorisés et de s’amuser sur de la musique.
Nous avons trouvé ca fantastique. Malgré leur célébrité, ils portent une attention
énorme à leur famille. Comme on peut le voir a la fin du film, Small x a une
femme et un fils, il tient à apporter une éducation parfaite à son fils !
Pour conclure, Wa Drari a
gagné le Primed 2019. Un très bon film de type hip-hop, plein d’émotions,
d’engagement, de volonté et de réussite. Durant le film nous sommes au cœur de
leur méthode de travail et de leur vie. Ils sont arrivés à nous projeter dans
la réalité des quartiers les plus pauvres du Maroc au travers de leur musique
et de leur histoire.
Nathan et Tino
Critique deux:
Ce film nous raconte l’ascension de ce groupe parti de rien. Les deux jeunes rappeurs se sont rencontrés en 2006 à Safi, au Maroc, durant leur enfance alors qu’ils ont une vie familiale compliquée. Shobee et Small X se lient alors d’amitié grâce à leur passion commune, le rap. Ils fondent alors Shayfeen pour imposer leur message décomplexé, d’espoir et de liberté, dans leur pays et en particulier dans leur société. Dans leurs textes ils parlent de leurs origines, de leur vécu et de leur situation actuelle.
Les rappeurs veulent faire passer un message : ils veulent montrer qu’ils sont présents, qu’ils sont là. Ils veulent rassembler la nouvelle génération avec leur gymnique :’’Wa Drari’’.
Ce film nous montre une Méditerranée forte, qui s’affirme mais aussi les inégalités et injustices entre certains pays Méditerranéens, comme par exemple ici entre la France et le Maroc. Dans le film Wa Drari, on peut voir aussi les différents problèmes des personnes vivants dans des pays peu développés ou en développement.
On a choisi ce film car pour nous c’est un film complet, il nous a captivé et intéressé. On trouve qu’il s’adresse plus aux jeunes et sur les trois films vus, c’est celui qui nous a le plus marqué car on évoque la gymnique encore entre nous aujourd’hui.
Clément et Maxime
Critique trois:
Le film a été produit au Maroc. Il est sorti en 2019, il dure 71 minutes .
Le sujet du film porte sur deux jeunes rappeurs du monde arabe qui ont créé un groupe nommé Shayfeen. Les deux rappeurs ont arrêté l‘école pour se consacrer uniquement à leur passion : la musique .
Pour nous le message qu‘ils veulent faire passer : dès que l‘on a un rêve il faut le faire quitte a tout laisser derrière soi .
L‘image de la Méditerranée qu‘il donne est qu‘il ne faut pas laisser ses origines de côté.
La société marocaine n‘aime pas la culture musicale (rap).Dans ce pays le rap est très mal vu à cause des idées reçues.
On a choisi ce film parce qu‘il parle de rap et que le rap c‘est de notre génération.On l‘a aussi choisi parce que le film est assez dynamique ce qui nous met dans l‘ambiance.
Il nous a appris à avoir confiance en soi et à foncer tête baissée quand on a un projet.
Hugo et Mathias
Critique quatre:
Nous avons choisi de faire un article sur le film “Wa drari” . Le film a été réalisé au Maroc plus précisément à Casablanca en 2019 et il dure 79 minutes. Le film nous montre le portrait de deux jeunes rappeurs : Shobee et Small-X qui forment un groupe très connu au Maroc . Ils se battent pour leurs rêves et pour pouvoir vivre de la musique . Dans ce reportage on peut les voir sur scène mais aussi dans leur vie privée. Ils montrent aux jeunes qu’ils doivent se battre pour leurs rêves et ne pas écouter les gens qui disent qu’ils ne vont pas y arriver, Le Maroc est un pays très peu ouvert d’esprits car sa devise est : «Dieu,la patrie et le roi »
Cela nous permet de voir les difficultés que les jeunes peuvent rencontrer au Maroc
Manon et Selma
Critique cinq:
Le sujet du film porte sur deux jeunes rappeurs du monde arabe qui ont créé un groupe nommé Shayfeen. Les deux rappeurs ont arrêté l‘école pour se consacrer uniquement à leur passion : la musique .
Pour nous le message qu‘ils veulent faire passer : dès que l‘on a un rêve il faut le faire quitte a tout laisser derrière soi .
L‘image de la Méditerranée qu‘il donne est qu‘il ne faut pas laisser ses origines de côté.
La société marocaine n‘aime pas la culture musicale (rap).Dans ce pays le rap est très mal vu à cause des idées reçues.
On a choisi ce film parce qu‘il parle de rap et que le rap c‘est de notre génération.On l‘a aussi choisi parce que le film est assez dynamique ce qui nous met dans l‘ambiance.
Il nous a appris à avoir confiance en soi et à foncer tête baissée quand on a un projet.
Hugo et Mathias
Critique quatre:
Nous avons choisi de faire un article sur le film “Wa drari” . Le film a été réalisé au Maroc plus précisément à Casablanca en 2019 et il dure 79 minutes. Le film nous montre le portrait de deux jeunes rappeurs : Shobee et Small-X qui forment un groupe très connu au Maroc . Ils se battent pour leurs rêves et pour pouvoir vivre de la musique . Dans ce reportage on peut les voir sur scène mais aussi dans leur vie privée. Ils montrent aux jeunes qu’ils doivent se battre pour leurs rêves et ne pas écouter les gens qui disent qu’ils ne vont pas y arriver, Le Maroc est un pays très peu ouvert d’esprits car sa devise est : «Dieu,la patrie et le roi »
Cela nous permet de voir les difficultés que les jeunes peuvent rencontrer au Maroc
Manon et Selma
Critique cinq:
Wa Drari est un film documentaire réalisé au Maroc par
Fatim-Zahra Bencherki et produit par Ali’n production.
Ce film documentaire d’une durée de 71 minutes retrace
l’histoire d’un duo de rap marocain nommé Shayfeen, qui a réussi à imposer
leurs musiques dans un pays conservateur où ce style musical est encore incompris.
A travers cette œuvre on peut suivre le parcours de
ces rappeurs qui sont partis de rien à la base et qui aujourd’hui se retrouvent
à remplir des salles de concert à Paris, des festivals à Casablanca et à
satisfaire des millions de jeunes.
Nous trouvons que ce film porte un grand message
d’espoir pour toutes les personnes jeunes souhaitant réaliser et accomplir
leurs rêves. Ce dernier apporte une image jeune, optimiste, pleine d’assurance
et de projets de la Méditerranée.
Nous l’avons choisi parce qu’on arrivait bien
s’identifier dedans en tant que « jeunes » tous plein de projets et de
rêves en tête, parfois difficiles à réaliser car pour y parvenir on doit
souvent faire de nombreux sacrifices.
Ne laisser
personnes nous dicter ce que l’on doit faire de notre avenir, les choix de nos
métiers, de nos passions et encore bien d’autres. Faire ce qui nous plait et
non pas ce qui plait aux autres. Savoir prendre des décisions qui nous mèneront
jusqu’au bout de nos ambitions même si cela est difficile… Voilà ce que ce film nous a appris.
Lucie et Margaux.
War
Drari : croire en ses rêves.
Inspirant.
Durant ces 71 minutes qui correspondent en réalité en un an de
travail, on découvre le duo de rap marocain Shayfee. Shobee et Small
X, de leurs vrais prénoms Chouaïb et Abdessamad sont partis de rien
et ont rencontré de vraies difficultés avant d’être reconnus
dans leur pays. Peu de personnes croyaient en eux car au Maroc on dit
qu’ils viennent de l’ « école de la rue » et
puisqu’ils ont arrêté leurs études, ils n’ont pas droit à
l’erreur. La réalisation est de très bonne qualité. Fatim-Zarha
Bencherki joue avec la mise-au-point et l’effet de ralenti. Il crée
des scènes décalées avec des musiques qui n’ont rien à voir
avec le propos (une foule de jeunes qui danse sur de la musique
électronique mais que l’on ralentit sur de la musique classique).
Nous
avons apprécié l’honnêteté des deux rappeurs. Le fait de voir
les coulisses de leurs vies et évoluer leur carrière musicale nous
a beaucoup intéressé. A voir !
Elise
et Florie. Seconde. CAV.
Critica dau filme: Wa Drari 1.
Wa drari es un
reportatge sus un grop
de rap que se ditz Shayfeen.
Lei rapaires an
arrestat l‘escòla
per faire de la musica e per bastir lor avenidor.
L‘imatge
que m‘agrada es quand small x parla ambé son
paire
de seis estudis.
L‘imatge
que m‘agrada pas es la sequéncia
de la disputa ambé small x e shobee.
Le
subject es interessant perque
aquò
parla de rap e que lo rap es de ma generacion.
Le
son e la musica
son
ben perque aquò
dona un costat orientau.
Lo
montatge
es rapid e ben realisat.
Ges
sequéncia
que m‘an
marcat.
En
conclusion : Lo film es ben realizat
car lei parents son
comprensius
envèrs lei chausidas
de lors
enfants e lei parents vòlon
que
lors
enfants reussisson
dins
lors
projèctes. Hugo.
Critica du film « WA DRADI » 2.
Lo film « Wa Dradi » es un documentari marocan sus dos cantaires de rap.
M’agrada pas tròp lo film mai es interessant a veire perque seguissèm Shobee e Small X durant un an.
Lei dos cantaires de rap son partits de ren e an conegut fòrça de dificultats avans de conóisser lo succès. Dins sei tèxts critican la societat marocana e se baton contra lei clichés.
Lo montatge es ben e la musica en fons porta quauqua ren en pus. Guilhèm. Provençau.
Wa
Dradi, lo rap, la vida
Lo
filme es un documentari que parla de
cantaires de rap dau groupo Shayfee, Shobee e Small X o Chouïab e
Abdessamad.
M’agrada
l’imatge dau concèrt perque es animat
e festiu.
M’agrada
pas l’imatge de la garrolha perque lei cantaires son
solidaris coma dei
fraires.
M’agrada pas lo montatge perque lo
realizator mescla lo francés e l’arab.
Fin finala, lo filme parla dei
dificultats per intrar dins lo mitan de la musica e que fau jamai
abandonar e que fau crèire dins son pantais per ren regretar.
Wyatt BUECHER, Rokia
Du sacrifice à la réussite
Ces jeunes rappeurs nous montrent qu'après tant de sacrifices familiaux, économiques, sentimentaux, qu'après des pertes tragiques, ils réussissent tant bien que mal à vivre de leur passion et transmettent ce message à travers le rap: compter sur personne et se battre pour vivre de ce que l'on aime.
Doutes. Désapprobation des parents. Disputes. Rejet de la société. Se pose la question de chanter dans le dialecte "le Danija": ce qui semble limité au Maroc. Comment sortir de ces épreuves?
Ce documentaire est doux par moments mais féroce lors des concerts. Rage et amour. Vivez de vos rêves mais ne rêvez pas de vivre!
Joani et Chaimae, Cinéma.
Le rap: un moyen judicieux de réussir au Maroc.
Des jeunes qui réussissent d'une manière nouvelle.
Fatim Zahra Bencherki a passé une année auprès du groupe nommé Shayfeen afin de nous faire découvrir que la réussite n'est pas toujours liée à l'école surtout dans un pays tel que le Maroc où il est souvent difficile de trouver un emploi.
Le rap, un art très récent dans ce pays, s'inscrit dans un processus nouveau qui bouleverse les codes de la société marocaine conservatrice.
Paul et Joseph. Cinéma.
Shay Feen: du pays où meurent les rêves.
Intrigant. Voilà ce que l'on ressent dès les premières images mais rapidement on comprend que l'on a affaire à deux garçons qui vivent leur passion sur scène. Après ce court passage, il y a un flash-back qui nous ramène à leur début. Chouaib connu sous le nom de scène de Shdoce et Abdessamad, lui, connu sous le nom de Small X forment un duo de rap: Shayfeen. Les transitions plus ou moins longues font un bond dans le temps, chaque passage de leur évolution accompagnée d'une musique et d'une image montrant leur début. Ils partent de rien, ils doivent se débrouiller depuis leur enfance et n'ont aucun soutien. Entre les doutes, les obstacles et les victoires, ces jeunes marocains ont réussi leur défi. Le film nous donne la définition du mot persévérance, avec émotion.
Célia et Camille.
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